DADADA 

Cette musique constamment séduisante est tout à fait représentative des talents de Negro (...) Le trio explore de nouvelles zones d’intensité et de dynamique collectives parfaitement originales. Stéphane Ollivier – Jazzmagazine

Negro donne libre cours aux formidables association d’images dont il nous enivre depuis des années. – Libération

Un jazz arc-en-ciel aux mille nuances et lumières. Superbe. – L’Humanité

Le pianiste Roberto Negro s’associe au lyrisme explosif d’Emile Parisien et à la poésie électro-percussive de Michele Rabbia pour un nouveau répertoire de sa propre composition. Pour l’écriture de Dadada, Roberto Negro puise son inspiration chez le célèbre peintre catalan Juan Mirò, dans la série de tableaux "Les Constellations", peints dans les années 1940-41, époque à laquelle Juan Mirò, dans une Espagne dévastée par la guerre civile, cherchait à se réfugier de la barbarie dans les étoiles, la nuit et la musique. Avec ses thématiques nocturnes et oniriques aux fluctuations imperceptibles et un certain goût pour la surprise, la musique du trio fascine par ses jeux de timbres, ses tonalités mystérieuses et son utilisation d’effets électroniques subtils. L’ensemble a une vision mutine et un sens du rebondissement quasi dadaïste du jazz.

Pianist and composer Roberto Negro presents his new trio Dadada. With dreamy, nocturnal themes, imperceptible fluctuations and an appetite for surprise, the trio’s music offers a fascinating combination of timbres, mysterious tones and subtle electronic effects. Emile Parisien’s haunting saxophone tangles with the fabulous polyrhythmic meanders of the piano and percussionist Michele Rabbia’s sensual choreography, producing a star-studded, poetic score.